LES FONDEMENTS DE L'ASTROLOGIE MÉDICALE, par André BARBAULT

Les maladies sont des formes contingentes qui se succèdent en se remplaçant, leur spécificité essentielle n'étant que relative, aucune n'étant vraiment ou totalement locale ni momentanée. Le substratum commun qui se trame derrière elles relève d'un principe morbifique unique, foyer central d'une succession d'entités nosographiques, cette souche étant l'expression d'une activité endogène d'ordre énergétique, résultat d'un déséquilibre profond assimilable à une dissonance.
Notre perception d'une unité spatiale solidarisant l'être entier dans ses crises de santé et d'une unité temporelle fondant ses maladies successives en une pathologie d'ensemble, de source conflictuelle, nous convie nécessairement à jeter notre regard astrologique sur la composition dissonante du thème, foyer de maladie.


Cet article est paru dans la revue "Urania Magazine", n°29

"Sun" par onlinewoman sur Flickr
L'astrologie est un savoir dont la spécificité relève des principes mêmes qui la fondent, son postulat de base, rappelons-le, étant l'unité du monde, champ d'une interdépendance de ses parties constituantes en une indivisibilité de l'Un et du Tout. Le regard astrologique ne peut donc être qu'une prise de vue d'en haut, une saisie globale, un langage de synthèse.

La tradition institue d'ailleurs la planète "significateur universel" et en fait un symbole qui a statut de généralisation et de permanence.
Sa généralisation implique une notion d'unité spatiale de manifestation. Le Soleil, par exemple, incarne un principe de puissance vitale qui se traduit tout autant en force physique (forme athlétique), en force matérielle (conquête d'avoir, fortune), en force sociale (affirmation représentative, réussite) qu'en force morale (courage, honneurs, éthique, idéal), la doctrine des "Déterminations" de Morin apportant une sélectivité à cette solarisation étendue à toute la personne.
Quant à sa permanence, elle fait prévaloir une notion d'unité temporelle de manifestation, étalée de la naissance à la mort. Le même Soleil, principe de puissance, est incarné par le père dans l'enfance, puis par le mari ou par sa condition de mari et de père, ainsi que par les autorités encadrantes de la société. C'est cette double continuité dans l'espace et le temps qui fonde le contenu du symbole.
Or, si nous abordons le domaine de la santé, il est impératif de s'aligner sur ces valeurs en en faisant les fondements de l'astrologie médicale.
Il en résulte les principes médicaux d'une unité de l'organisme dans l'espace, relativisant la localisation du processus morbide, la maladie étant l'affaire d'une totalité de l'individu, et d'une unité de l'organisme dans la durée, relativisant l'isolement temporaire du processus morbide, la maladie s'insérant entre les troubles antérieurs et les troubles postérieurs dans une continuité enchaînante.

Cette synthèse astromédicale s'inspire de l'œuvre du Dr René Allendy (1889-1942) qui fut le fondateur de la Société française de psychanalyse et le président de la Société française d'homéopathie, en particulier de son "Orientation des idées médicales" (Au Sans Pareil, Paris, 1932) et surtout de son "Essai sur la guérison" (Denoël et Steele, Paris 1934).
Allendy était non seulement psychanalyste et homéopathisant, mais aussi astrologue, et je ne connais pas d'auteur qui ait mieux que lui renoué le fil de la tradition astrologique de l'ancienne Iatromathématica avec la tradition médicale passant par Hippocrate, les hermétistes, les vitalistes et, aujourd'hui, les homéopathes et les psychanalystes.

La coordination dans l'espace : la synergie physiologique

"Abstract drops" parNicole Makauskassur Flickr
L'individu est un, avant tout. En lui, la vie manifeste un principe d'unité, tant dans son ensemble que dans ses parties et dans la subordination de celles-ci à celui-là, en une centralisation telle que chaque élément reflète le tout.
Ce principe d'unité synthétique réside au niveau premier de la cellule qui se nourrit, respire, se reproduit et vit comme l'individu entier, suivant également sa destinée d'individu. On le retrouve aujourd'hui plus que jamais avec le génome humain dont la formule, caractéristique de la personne entière, est si bien reproduite dans chacune de nos cellules qu'elle est une signature qui se lit dans la plus infime particule : fragment de peau, goutte de sang, de salive, de sueur, de sperme. La caractéristique principale de la vie manifestée est dans cette orchestration où tout se tient si parfaitement.

Les anciens avaient été frappés par cette correspondance entre les parties et le tout, ce qui justifie des connaissances comme la physiognomonie, devenue morphopsychologie, interrogeant le visage, et la chiromancie, nouvellement chirologie, consultant la main ; voire aussi l'iridologie avec l'œil.

"Abstract drops" parNicole Makauskassur Flickr
La conviction que de l'examen d'une partie l'on puisse tirer une connaissance de l'ensemble a d'ailleurs prévalu en clinique avec les examens du faciès, de la langue, de l'œil, des ongles, du pouls. De même, les anciens n'avaient pas manqué d'observer cette orchestration générale de l'organisme où se perçoit un plan d'ensemble qui détermine les moindres détails en fonction d'un type particulier. C'est ainsi qu'ils ont différencié diverses constitutions à partir de quatre tempéraments fondamentaux qui posent des catégories humaines d'une spécificité intégrale.

Chez l'être humain règne finalement une synergie fonctionnelle qui fait concourir l'organisme entier à un effet unique, chacune des parties collaborant au tout dans un mouvement d'ensemble où ces parties se répondent et se commandent l'une l'autre en une sorte d'accord symphonique.

On conçoit donc qu'il ait été admis que l'on puisse modifier le corps entier par l'excitation d'une partie ou d'un point localisé : centro-thérapie, réflexothérapie, acupuncture.

"Abstract drops" parNicole Makauskassur Flickr
L'on n'a pas non plus manqué de relever diverses relations histologiques, homologiques et psychiques : répercussion de l'état d'un tissu sur le même tissu pourtant éloigné de lui, effet de résonance comme si toutes les cellules du même tissu obéissaient à la même destinée : retentissement du même ordre d'un organe à un organe homologue par symétrie histologique (tissu musculaire, glandulaire... ), physiologique (entre reins, glandes sudoripares... ) ou anatomique (entre membres), symétrie latérale, bilatérale, axiale, bipolaire.

Sans oublier, avec l'étiologie psychique de troubles divers, les ensembles corrélationnels liant le physique et le moral : la méfiance de l'urinaire, l'inquiétude du myope, l'exposition de l'agressif aux troubles cardio-vasculaires, du timide aux troubles digestifs... Les psychanalystes ont constaté combien souvent vont ensemble la constipation, l'avarice, la frigidité ou l'impuissance, comme si, dans la plasticité de la nature, une même inhibition traversait l'être dans tout son espace intérieur. Le moindre symptôme peut donc avoir un retentissement sur toute l'économie vitale dans cette étroite solidarité qui unifie l'organisme de la base au sommet.

"Voilà une jeune fille qui a de la diarrhée, des migraines, des règles tardives et difficiles : allons-nous dire qu'elle souffre de trois maladies et lui chercher trois médicaments, un pour la tête, un pour l'intestin, un pour les ovaires?"

Force est de convenir qu'en général il n'y a pas de maladie localement circonscrite, mais un état pathologique dont le siège est un tout indivisible et qui est spécifique à la personne. Ce qui nous ramène aux particularités du terrain individuel et à l'adage des vieux cliniciens : il n'y a pas de maladie, il n'y a que des malades.

 La coordination dans le temps : les substitutions morbides

"Thanatos" par Sara Lando sur Flickr
C'est également une continuité fonctionnelle de durée ininterrompue qui fait la trame des manifestations vitales où se succèdent état de santé et crises, le phénomène méta statique remettant en question la notion de maladie temporaire isolée, fermée sur elle-même.
Il y a métastase lorsque la cessation d'un mal s'accompagne de l'apparition d'un autre mal, le désordre nouveau se substituant à l'ancien d'un lieu à un autre et sous une forme différente.
Le phénomène est plus fréquent qu'accidentel. L'élimination urinaire, sudorale, biliaire, menstruelle, peut cesser plus ou moins complètement, le produit d'élimination passant par des voies nouvelles. Ainsi, les règles peuvent se trouver remplacées par des congestions localisées, des infiltrations sanguines ou des hémorragies.
On connaît la substitution ou l'alternance réversible entre des affections internes et des éruptions cutanées. Fréquent également est le passage d'une maladie lésionnelle à un trouble constitutionnel purement psychique. C'est un fait bien connu qu'une aliénation installée disparaît pendant une infection aiguë, qu'une mélancolie ou un état névrotique s'efface sous le coup d'une atteinte organique.
De leur côté, les psychanalystes en sont venus à donner une place prépondérante au phénomène de substitution, sous l'effet duquel l'énergie psychique change d'affectation en se détournant d'une perturbation donnée pour passer à une perturbation d'une autre sorte, comme si l'individu "échangeait" un trouble contre un autre trouble, l'angoisse étant par exemple évacuée en remplacement d'un désordre somatique.
Freud constate que si une blessure survient au cours d'un événement grave, la douleur physique épargne le retentissement psychique du choc, et c'est une constatation clinique banale que l'état névrotique d'un patient s'éclipse pendant l'épreuve d'un trouble organique : en vertu d'une certaine "complaisance somatique", le malade "troque" la douleur morale contre la douleur physique.
À vrai dire, l'abcès de fixation, la saignée, la révulsion, la malaria-thérapie constituent des dérivations méta statiques. On conçoit que Hahnemann ait fait de la métastase le fondement de sa thérapeutique en assimilant l'action de son médicament à une maladie artificielle capable de se substituer à la vraie maladie.
Si, rappelant cette unité spatiale du champ humain, des troubles lésionnels, fonctionnels, organiques et psychiques, sont capables d'alterner, force est d'admettre qu'il existe entre eux une communauté foncière, le rapport d'équivalence de leurs interférences impliquant un substratum commun qui n'est pas sans introduire une notion d'analogie sur le terrain médical.
Allendy en vient à présenter ce cas : "Un enfant scrofuleux, impétigineux, fait une rougeole grave : première mutation. À la suite de cette maladie, l'état scrofuleux disparaît ; on passe à une phase de santé apparente plus ou moins longue : deuxième changement. Un jour, une tuberculose pulmonaire se déclare : troisième phase. Puis un eczéma persistant métastase cette tuberculose : quatrième phase. Alors se déroule une période de soi-disant santé, seulement marquée par une dyspepsie légère, quelques migraines ou somnolences.
Tardivement éclate un accès de goutte. N'est ce pas la même maladie, le même désordre vital qui évolue en des formes nosographiques différentes et successives?"

 Les processus morbides

"Depression just tries to drag you down"
par Lanuiop sur Flickr
Les maladies sont des formes contingentes qui se succèdent en se remplaçant, leur spécificité essentielle n'étant que relative, aucune n'étant vraiment ou totalement locale ni momentanée.
Le substratum commun qui se trame derrière elles relève d'un principe morbifique unique, foyer central d'une succession d'entités nosographiques, cette souche étant l'expression d'une activité endogène d'ordre énergétique, résultat d'un déséquilibre profond assimilable à une dissonance. Pour la médecine chinoise, la maladie est précisément une rupture, une dissonance dans l'harmonie de l'être ; Virchow la tient pour une guerre civile à l'intérieur de l'organisme et Jung assimile également la névrose à une guerre civile dont l'âme humaine est le théâtre.
Notre perception d'une unité spatiale solidarisant l'être entier dans ses crises de santé et d'une unité temporelle fondant ses maladies successives en une pathologie d'ensemble, de source conflictuelle, nous convie nécessairement à jeter notre regard astrologique sur la composition dissonante du thème, foyer de maladie.

Une habitude a été prise de s'adresser directement aux configurations des secteurs VI et XII, en oubliant l'importance du huitième qui est, en plus de celui de la mort elle-même, le secteur spécifique de la chirurgie, rien ne caractérisant mieux une intervention chirurgicale qu'un Mars, un Uranus ou un Pluton dissonant en VIII, le signe occupé par l'astre fournissant d'ailleurs souvent la localisation du choc opératoire, sinon celui le l'astre (Soleil par exemple) avec lequel il est en dissonance.
Sans nier pour autant la valeur des informations de santé dont VI et XII sont porteurs, il n'en faut pas moins partir d'une autre base pour la détection des prédispositions pathologiques.


C'est la principale configuration dissonante du thème - en quelque secteur qu'elle soit - qui représente le foyer central de la pathologie de l'individu.
Certes, rien ne spécifie que cette dissonance essentielle se traduise en maladie proprement dite : dans la sphère globale du symbole, il n'existe pas plus de frontières infranchissables entre la santé, l'amour, la réussite,... qu'entre les divers états internes de la santé.
Est-il certain que nous puissions savoir si le mal de la dissonance est psychophysiologique, affectif, matériel ou social? L'interrogation demeure et il est plus sage que l'interprète se cantonne au principe du "ou bien ou bien" ouvert à la formule de substitution ; car l'on peut aussi "troquer" une maladie contre un échec amoureux ou professionnel. Par contre, si la santé est le terrain existentiel plus fragile de l'individu, nul doute que la symptomatologie de vie relève du principe morbifique de sa dissonance centrale.

Cette configuration critique concentre un ensemble de facteurs dont la condensation est susceptible d'affectations aux formulations différentes selon la participation qui entre en jeu, l'accent étant mis tantôt sur telle note, tantôt sur telle autre du même clavier.
Si cette dissonance centrale est représentée par le réseau d'un seul aspect dissonant ­carré ou opposition- l'on voit le plus souvent se produire un "jeu de bascule" faisant alterner les maladies d'un pôle et celles d'un autre pôle du même aspect.
Il peut aussi advenir que la dissonance essentielle de l'être soit, telle une étoile double, deux dissonances séparées faisant intervenir le même jeu d'alternance dans la série des enchaînements morbides.

Je me contenterai de vous évoquer le cas de Charles Baudelaire, né à Paris le 9 avril 1821 à 15 heures, selon l'état civil. Sa dissonance majeure est une étroite conjonction Soleil-Saturne en Bélier et en VIII, au carré de la Lune en Cancer, le MC étant à leur semi-carré.
Toute la symptomatologie psychosomatique de ce grand poète en relève : mélancolie, "spleen", inhibition intellectuelle, constipation chronique, impuissance sexuelle, intoxication alcoolique, paralysie générale syphilitique, aphasie et décès de congestion cérébrale. Dans cette succession, le centre de gravité du principe morbifique se déplace en fonction d'une combinatoire renouvelée par l'apport particulier de tel ou tel indice : la mélancolie et l'alcoolisme du duo luni-saturnien, l'Ascendant Vierge participe à la constipation, de même que la conjonction Mars-Pluton en VIII à la syphilis contractée sexuellement et le Bélier à l'atteinte cérébrale, mais c'est la conjonction saturnienne qui constitue le centre du déséquilibre fondamental de cet échiquier ainsi diversifié.

 Retour au tempérament

L'homme zodiaque dans le manuscrit
de Gutun Owain (XVe siècle)
Le répertoire astro-médical repose sur l'entité planète-signe-maison.
Dans ce clavier, la localisation corporelle est impartie à la mélotésie zodiacale : Bélier-­tête / Poissons-pieds, le système des maisons venant en complément : Bélier-I/Poissons-XII.
Aux planètes reviennent les fonctions organiques : centres solaires du cœur et du cerveau, états lunaires de la vie digestive, de la fonction féminine, etc., outre que la manifestation dissonante de l'astre se traduit en spécificité pathologique : Mars inflammatoire, hémorragique, Jupiter congestif, pléthorique, Saturne inhibitif, paralysant, lithiasique...
Ainsi, Mars du Bélier dissonant, surtout en I, expose à la migraine, à l'hémorragie cérébrale, comme Saturne du Scorpion, en VIII surtout, à la rétention d'urine, à la gravelle, à la constipation ou à l'impuissance...
Toutefois, ne nous installons pas en toute sécurité dans un pianotage automatisé de ces corrélations. Combien de fois trouve-t-on de dissonances du Lion dans les infarctus?

J'ai toujours considéré que la corrélation de l'Homme-zodiaque était d'ordre psychique, le physiologique pouvant en découler ; le Taureau, par exemple, en relation avec la bouche, exprimant la valeur freudienne d'oralité et incidemment une sensibilité de la gorge.
Avec son Bélier, le nervo-bilieux Baudelaire, au génie lapidaire, est quasi-obsédé, dans son œuvre, par les mots : front, crâne, cerveau (le cerveau plein de flammes... tant ce feu nous brûle le cerveau... ) et c'est une syphilis cérébrale qui l'emporte.
Chez l'ultra-Poissons Victor Hugo, la thématique de son imaginaire tourne autour des mots : pieds, pas, semelles... Mais s'est-il pour autant plaint de ses propres pieds?
Ces mots clés insistants de l'imaginaire des poètes accréditent un psychisme de fonctions organiques avec ses valeurs psychanalytiques : processus psychologique de pulmonalité, de gastricité, de cardicité, d'intestinalité... avec les Gémeaux, le Cancer, le Lion et la Vierge, typique étant d'ailleurs la similitude du couple Vierge-Scorpion avec le "complexe anal" freudien, sous son double aspect "replié" (constipation), "relâché" (diarrhée) : corrélation d'autant plus certaine que Mars en Vierge scorpionnise le signe en le désinhibant, comme Saturne en Scorpion virginise celui-ci en l'inhibant.

Et la gastricité cancérienne, qui associe étroitement maternité et nourriture, se comprend mieux depuis que la psychosomatique a observé la fréquence de l'ulcère stomacal lié à un conflit affectif avec la mère.

Certes, il n'est pas question de remettre en cause notre processus interprétatif mais il convient de lui redonner un souffle, de l'élever à la hauteur d'une saisie globale de l'individu.
C'est le lieu de faire un salutaire retour aux anciens qui y accédaient en détectant le tempérament, selon la classification hippocratique des éléments : Eau-lymphatique, Air­sanguin, Feu-bilieux Terre-nerveux. Nous savons que cette corrélation précise se trouve confirmée par le bilan statistique des Gauquelin avec la Lune, Jupiter, Mars et Saturne.

Il convient donc de restituer la plate-forme de l'information tempéramentale, laquelle, naturellement, ne s'obtient pas d'une simpliste addition de positions en triplicités mais de la quête de la dominante du thème, véritable signature du sujet.
En suprématie d'Eau : lunaire, neptunienne, cancérienne ou Poissons, par exemple, le lymphatisme prédomine, faisant prévaloir, avec la fonction de nutrition, le règne de l'appareil digestif : ainsi que les réactions lentes, faibles, les manifestations pathologiques larvées et traînantes, les maladies de langueur.
Alors qu'une signature jovi-vénusienne adjuge l'Air avec un tempérament sanguin a dominante de fonctions respiratoires, circulatoires et sexuelles, ainsi que des réactions vives, fortes et rapides, mais de courte durée, dans un catabolisme en hyper...
Il va sans dire, du même coup, que la même dissonance centrale du thème ne saurait être interprétée de la même manière dans le premier cas comme dans le second. Raison de commencer par prendre nos informations du plus haut.